Le 23 octobre 2025, la commune de Nantua a célébré l’ouverture tant attendue de son nouveau centre de santé départemental, baptisé Maison de santé du lac. Situé dans les locaux rénovés de l’ancien hôpital de la rue Paul-Painlevé, cet établissement vise à répondre aux défis croissants de la santé mentale en offrant une prise en charge accessible et adaptée aux besoins de la population locale.
Sommaire
Un centre de santé au cœur de la vallée
La Maison de santé du lac a ouvert ses portes le 8 septembre 2025, dans les locaux de l’ancien hôpital de Nantua, rue Paul-Painlevé. Cette initiative s’inscrit dans une démarche proactive pour pallier la pénurie de médecins généralistes dans la région. Le centre regroupe trois médecins généralistes, chacun intervenant deux jours par semaine, ainsi que deux infirmières et deux secrétaires médicales.
Une réponse à la désertification médicale
Face à la fermeture successive de cabinets médicaux et à la difficulté de recruter des praticiens, la Maison de santé du lac représente une solution innovante pour assurer une couverture médicale continue. En offrant des consultations quatre jours par semaine, le centre vise à répondre aux besoins de santé de la population locale, estimée à environ 5 000 habitants.
Un modèle de collaboration efficace
Le modèle de fonctionnement du centre repose sur une délégation efficace entre médecins et assistantes médicales. Cette organisation permet d’optimiser les consultations et d’assurer une prise en charge rapide et de qualité pour les patients.
Priorité à la santé mentale
Conscients des enjeux liés à la santé mentale, les équipes du centre ont mis en place des dispositifs spécifiques pour accompagner les patients souffrant de troubles psychiques. Des consultations dédiées, en collaboration avec des psychologues et des psychiatres, sont proposées pour assurer un suivi adapté et personnalisé.
Un accueil chaleureux pour les patients
Les premiers retours des patients sont très positifs. L’accueil chaleureux du personnel, la modernité des équipements et la proximité du centre ont été salués. De plus, le centre a déjà enregistré plus de 500 patients un mois après son ouverture, témoignant de l’engouement et de la confiance accordés par la population.
Vers une pérennisation du modèle
Fort de son succès, le modèle de la Maison de santé du lac pourrait être reproduit dans d’autres territoires confrontés à la même problématique de désertification médicale. Les autorités locales envisagent d’étendre ce modèle pour garantir un accès aux soins pour tous, en particulier dans les zones rurales.
- Infrastructures modernes : Le centre dispose d’équipements de pointe pour assurer des consultations de qualité.
- Accessibilité renforcée : Situé dans l’ancien hôpital, le centre est facilement accessible pour les habitants de Nantua et des environs.
- Equipe pluridisciplinaire : Composée de médecins, infirmières et secrétaires médicales, l’équipe assure une prise en charge complète des patients.
- Consultations dédiées : Des services spécifiques sont proposés pour les patients souffrant de troubles psychiques, en collaboration avec des professionnels spécialisés.
- Modèle reproductible : Face au succès rencontré, ce modèle de centre de santé pourrait être étendu à d’autres régions confrontées à la désertification médicale.
Un modèle de santé à suivre
La Maison de santé du lac de Nantua incarne une réponse innovante et efficace aux défis de la santé mentale et de la désertification médicale. Grâce à une organisation collaborative et une attention particulière portée à la qualité des soins, ce centre offre un modèle prometteur pour l’avenir de la santé en milieu rural. Il est à espérer que cette initiative inspire d’autres communes à adopter des solutions similaires pour garantir à tous un accès aux soins de qualité.


Bonjour à tous, je m’appelle Rémi Dubart. Je suis né le 15 mars 1985 à Lyon, en France. Depuis mon plus jeune âge, j’ai toujours eu une passion pour la science et tout particulièrement pour le domaine de la santé. Après avoir obtenu mon baccalauréat scientifique avec mention très bien, j’ai intégré l’Université Paris Descartes où j’ai étudié la médecine pendant six longues années. Passionné par les différentes spécialités médicales ainsi que par leur interaction complexe au sein du corps humain, il était évident pour moi que je voulais contribuer d’une manière ou d’une autre dans ce secteur si crucial. Cependant, durant mes dernières années universitaires en tant qu’étudiant en médecine interne hospitalière (interniste), j’ai découvert ma véritable passion : rédiger sur des sujets relatifs à la santé afin de partager mes connaissances avec un public plus large et potentiellement aider davantage de personnes grâce aux informations précises et fiables que je pouvais fournir. Ainsi est née ma carrière dans le monde fascinant du journalisme médical ! J’ai commencé comme pigiste puis ai rapidement été embauché comme rédacteur indépendant dans plusieurs magazines prestigieux dédiés à la santé tels que « SantePlus » et « Vitalité ». Mon rôle principal consistait alors non seulement à informer les lecteurs sur divers problèmes liés notamment aux pathologies courantes telles que l’hypertension artérielle ou encore le diabète mais aussi a vulgariser certains termes techniques souvent complexes propres au vocabulaire médical. Dans mon travail de rédacteur, j’ai également eu l’opportunité d’écrire des articles sur les nouvelles avancées médicales et technologiques dans le domaine de la santé. J’ai ainsi pu interviewer plusieurs experts renommés tels que des chercheurs en biologie moléculaire ou encore des chirurgiens spécialisés afin d’apporter une vision plus pointue à mes lecteurs tout en restant accessible au grand public.