Don d’organes et greffe : tout ce que vous devez savoir

La greffe d’organes est une opération chirurgicale qui consiste à remplacer un organe malade ou manquant par un organe sain.

Les organes les plus souvent greffés sont le rein, le cœur, le foie et la cornée.

La greffe de moelle osseuse est aussi possible.

Il existe des lois pour protéger les donneurs et les receveurs d’une éventuelle contamination par des virus.

Sommaire

Qu’est-ce que le don d’organes et de tissus ?

Le don d’organes et de tissus est une opération qui consiste à prélever un organe ou des cellules sur le corps d’un défunt pour les greffer sur un malade en attente de greffe.

La procédure peut se faire avec le consentement du défunt ou sans son accord, pour sauver une vie.

Les organes et les tissus sont prélevés après la mort d’une personne, mais avant que celle-ci ne soit considérée comme étant en état de mort clinique, c’est-à-dire lorsque la réanimation cardiorespiratoire est arrêtée et que l’activité cérébrale n’est pas encore totalement arrêtée.

Lorsqu’un prélèvement d’organe est possible, il faut toutefois veiller à ce que le donneur soit encore en vie, car il faudrait qu’il puisse recevoir lui-même un organe à greffer. Cette condition est appelée « critère d’immunité ». Si ce n’est pas le cas, on parle alors de donneur potentiel. Dans ce cas, la famille doit prendre une décision difficile : accepter ou refuser le don d’organes et/ou de tissus du défunt. Ce choix peut être guidé par des facteurs comme la religion ou les convictions personnelles du défunt. En Belgique, depuis 2005, toute personne majeur peut faire savoir si elle accepte ou non un don d’organes et/ou de tissus postmortem à travers une carte personnelle établie par l’Institut national des transplantations (INN). Elle peut également y indiquer ses souhaits relatifs au type de donation envisagée (donner ses organes ou ses tissus) et aux aspects relatifs au prélèvement (prin

Les critères pour être un donneur d’organes

La question du don d’organes est une réflexion importante pour tout le monde, et cela encore plus pour les parents qui doivent faire un choix difficile. En effet, la loi française autorise le prélèvement des organes de personnes décédées sur sa carte vitale. Cependant, la plupart du temps, les familles ne sont pas au courant de cette possibilité et l’absence de réglementation complique la tâche des proches pour faire ce choix difficile.

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Les critères pour être un donneur d’organes? Pour pouvoir être donneur d’organes il faut remplir certaines conditions :

  • Être majeur
  • Ne pas avoir subi de traitement médical particulier susceptible de mettre en danger sa vie.
  • Avoir exprimé son consentement par écrit auprès du service hospitalier concerné

La procédure de don d’organes

Un prélèvement d’organe, c’est le don d’organe d’une personne décédée. En France, environ 20 000 patients sont actuellement sur liste d’attente pour recevoir un organe et ainsi continuer à vivre.

Les greffes de rein et de foie représentent 70 % des greffes effectuées chaque année.

Le don d’organes est une possibilité qui peut être offerte à tous les candidats à la transplantation, quels que soient leur âge ou leur état de santé général.

La loi permet également aux proches des personnes décédées du don volontaire de tissus humains (rein, cornée) ou de cellules souches hématopoïétiques (moelle osseuse). Comment procède-t-on au don? La procédure de don est longue : elle commence par la réalisation d’un entretien médical et psychologique avec l’infirmier coordinateur du service de réanimation puis se poursuit par un examen médico-légal afin de déterminer si le corps du patient est compatible avec la transplantation. Si tel est le cas, une autorisation est alors obtenue pour pratiquer l’acte chirurgical nommé « prélèvement ».

Le corps sera ensuite emmené par un vaisseau sanguin spécialement conçu vers un centre hospitalier spécialisée en transplantation afin que le praticien puisse procéder au prélèvement des organes destinés à être transplantés. Avantages et inconvénients du don Une opératoire chirurgicale complexe L’activité chirurgicale comporte plusieurs phases : 1) Prise en charge psychologique 2) Interrogatoire 3) Examens 4) Prise en charge anesthésique 5) Anesthésie 6)

La récupération des organes

L’homme est capable de se régénérer. Cette capacité lui permet de faire face à des situations extraordinaires et d’envisager un avenir meilleur que celui qu’il aurait eu sans cela. Cependant, la récupération des organes n’est possible que pour les personnes qui ont subi une greffe d’organe, ou qui sont en attente de greffe.

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La récupération des organes peut être envisagée par une personne qui a subi une greffe d’organe (greffon), mais elle ne peut pas être envisagée pour tous les patients. Dans le cas d’une transplantation de rein, la personne doit suivre un traitement immunosuppresseur pendant au moins six mois après l’opération afin d’empêcher le rejet du nouveau rein par son organisme. Dans ce cas, il est très important de bien choisir le donneur car la compatibilité tissulaire entre le greffon et le receveur est fondamentale pour favoriser la bonne assimilation du greffon par l’organisme. Par ailleurs, il faut également savoir que le corps humain contient différents types de cellules dont certaines sont plus fragiles que d’autres. En effet, on distingue les cellules souches hématopoïétiques (CSH) des cellules souches embryonnaires (CSE).

Les CSH sont présentes surtout chez l’adulte alors que les CSE peuvent provenir du cordon ombilical ou encore du placenta chez la femme enceinte. Toutefois, il existe aussi des CSH adultes chez l’enfant et elles sont capables de produire tous types de globules rouges, blancs et plaquettes via la moelle osseuse durant sa vie entière. Pour réussir une transplantation

La greffe d’organes

La greffe d’organes ou transplantation d’organe est une opération qui consiste à remplacer un organe déficient par un organe sain provenant de la personne du donneur. Dans le domaine de la transplantation d’organes, il existe 2 types de sources : les organes issus du corps humain (cœur, rein, foie, poumons…) et ceux issus de cadavres (cerveau.).

Les avantages des greffons vivants sont nombreux. Tout d’abord, ils sont compatibles avec l’hôte receveur. Ensuite, ils permettent aux patients en attente d’une greffe de retrouver une qualité de vie acceptable. Une fois que le médecin a choisi le donneur et le receveur potentiel pour une greffe, cette opération se réalise en plusieurs étapes:

  • Le prélèvement des organes sur le donneur
  • La préparation des tissus et des cellules
  • L’implantation sur le corps du receveur

Les risques de la greffe d’organes

La greffe d’organes est un sujet qui fait couler beaucoup d’encre. Si vous êtes intéressé par ce type de projet, il est important de savoir que cela n’est pas sans risque, et qu’il sera nécessaire de bien s’informer avant de se lancer dans un tel projet.

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Il existe plusieurs types de greffes, mais celles qui ont le plus souvent lieu concernent les organes internes du corps humain.

Les risques de la greffe d’organes ? La transplantation d’organe est une opération chirurgicale visant à remplacer un organe qui a été endommagé ou absent chez le patient par un autre en bon état.

Le donneur et le receveur doivent correspondre pour pouvoir procéder à la greffe. S’ils ne correspondent pas, la personne recevant l’organe peut subir des complications graves, voire mortelles. Pour éviter cela, il est possible de mettre en place des tests spécifiques avant la transplantation afin d’assurer une compatibilité entre les différents tissus corporels du donneur et du receveur.

Il arrive aussi qu’une complication survienne au cours ou après l’opération : infection ou rejet du nouvel organe par le système immunitaire du patient. Toutefois, si elle a lieu correctement réalisée selon les normes internationales reconnues, la greffe restera une excellente solution pour résoudre certains problèmes même graves comme les maladies cardiaques irréversibles par exemple.

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Pour conclure, il est important de rappeler que le don d’organes et la greffe vont permettre de sauver des vies. Mais ce n’est pas tout, cela va aussi permettre à des personnes en attente de greffe de pouvoir être soignées et d’avoir une vie normale.